Jour 02: Washington D.C. ou la Obama City

En visitant Washington, je me suis rendu compte à quel point les États-Unis, c’était un pays fondé sur l’honneur et sur le nationalisme. Ça se voit partout dans leur grand pays, mais surtout ici, où chaque coin de rue a un monument, une statue, un drapeau, une citation rappelant un moment intense de leur si courte histoire. Néanmoins, c’était impressionnant.

La ville en soit un énorme musé. C’est beau, propre et surprenant, mais il ne se passe rien car c’est une ville de fonctionnaires. Donc, une fois qu’on a fait le tour des endroits clichés, ça perd tout son charme. Je reste cependant très surpris par le Lincoln Memorial. C’est visuellement emballant et très bien pensé, mais c’est surtout un grand plaisir pour moi de me retrouver dans un endroit aussi mythique que la fameuse scène dans Forrest Gump où Forrest parle à la foule et que Jenny surgit de la foule… un grand moment pour un cinéphile comme moi.

Comme le supposait Mia, c’était fort certain que nous allions croiser quelque chose d’inattendu et comme de fait, c’est arrivé. À moins de 100 mètres de la maison Blanche, les polices bloquent les rues, des sirènes se font entendre. Je sort mon appareil photo et attend. Une dizaine de policiers en moto sortent d’une grille et suivent environ 5 limousines dans lesquels je crois qu’il s’agit de Joe Biden (il lui ressemblait que trop). Marco dit avoir vu un homme noir accôté sur sa main dans une autre… peut-être Barack, ou pas…

Nous avons beaucoup marché… au point où ça commence à faire vraiment mal. C’est ça les vacances à la Piccoli. Marcher une ville de bord en bord, snobé le metro et espérer découvrir de nouveaux quarties. Ça avait fonctionné à San Francisco il y a 2 ans, j’ai toujours gardé la même technique. Nous avons terminé la soiré à Georgetown, le coin branché de Washington, où il y avait au moins un peu plus de vie. On a mangé un bon repas au « Uno Pizza » et nous nous sommes dirigés vers le « Thomas Sweet » pour une autre crème glacée.

Demain, direction vers Myrtle Beach où nous tremperons finalement nos pieds Montréalais dans l’eau salée. Je m’en peux plus d’attendre.

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